Le constructeur japonais s’est en effet imposé pour la première fois de son histoire dans la célèbre course d’endurance grâce au trio composé de Fernando Alonso, Sébastien Buemi et de Kazuki Nakajima.
Toyota enfin récompensé
Alors qu’il participait à la célèbre course d’endurance pour la 20e fois de son histoire, le constructeur japonais est enfin parvenu à s’imposer. On peut toujours dire que le plateau était moins relevé que d’habitude ou qu’il n’était composé que de modèles hybrides, tout cela n’enlève rien à la victoire de Toyota qui entre ainsi dans le cercle fermé des vainqueurs de cette épreuve très prestigieuse.

En outre, grand favori de l’épreuve avant même le départ, Toyota avait une grosse pression et l’a parfaitement gérée pour finalement l’emporter. Il parvient même à réaliser un doublé, les équipages 8 et 7 s’étant livré bataille pendant une grande partie de l’épreuve. C’est finalement le premier d’entre eux qui s’est imposé.
Un tour qui coûte cher
Alors que les deux équipages se sont longtemps battus pour la victoire, une grande partie de la course s’est jouée à 1 h 30 de l’arrivée, quand on a vu la voiture 7, pilotée par Kamui Kobayashi, ralentir subitement. Alors qu’on craignait un incident mécanique, il s’agissait simplement d’une erreur du pilote japonais qui avait oublié de rentrer aux stands dans le tour précédent. Donc, pour éviter le moindre risque, il a dû effectuer un tour à une allure réduite avant de finalement faire un arrêt. Ce fait de course a suffi à faire basculer l’épreuve en faveur de la voiture 8.

Pourtant, en fin de soirée, l’équipage 7 était encore en tête, comptant plus d’une minute d’avance sur leurs rivaux. Mais les futurs vainqueurs sont parvenus à refaire leur retard au fur et à mesure pour finalement prendre définitivement la première place. Le podium est complété par la voiture 3 de l’équipe Rebellion Racing.
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