ActualitéVoitures électriques : quand la production de batteries ne peut pas suivre

Voitures électriques : quand la production de batteries ne peut pas suivre

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Un investissement massif est nécessaire pour faire face à la demande sans cesse croissante de voitures électriques. Effectivement, une quarantaine de Gigafactory de Tesla devrait être construite pour que l’offre puisse suivre la demande. L’investissement requis s’élèverait donc à presque 175 milliards d’euros faute de quoi, les concepteurs s’exposeront à une pénurie de batteries d’ici 8 ans. Cela pourrait avoir un grand impact chez les constructeurs automobiles.

L’offre n’arrivera pas à suivre la demande

Les consommateurs sont nombreux à vouloir essayer, acheter et adopter la voiture électrique depuis quelques années. L’engouement est même tel que la production de batteries n’arrive plus à suivre les commandes. Jusqu’ici, les concepteurs de voitures ont toujours réussi à attirer l’intérêt des clients. On constate ainsi une véritable conscientisation de la part des consommateurs en ce qui concerne les problèmes environnementaux mais aussi le souci d’une sauvegarde environnementale. Néanmoins, cette bonne initiative risque d’être stoppé par le manque de batteries.

Un gros investissement doit être fait pour éviter la pénurie

Le mois de juillet 2017, Le Parisien a rapporté qu’il va falloir construire près d’une quarantaine d’usines pour pallier à cette pénurie si les concepteurs faisant un quart de leurs chiffres d’affaires sur les modèles électriques. A partir de cette information, on peut déduire que 172.000.000.000 d’euros soient nécessaires pour poursuivre l’alimentation de chaque véhicule électrique. Cet investissement devrait s’effectuer durant 8 ans et le problème serait évité.

Du côté des constructeurs, Volkswagen proposera une trentaine de modèle en 2025 et écoulera 3.000.000 de véhicules électriques. D’ici 8 ans, le nombre de voitures vendues dépassera normalement une centaine de millions. Jusque-là, les constructeurs de voitures traditionnelles ne montrent pas trop d’appréhension. Dans le rapport de l’Opep, l’Organisation des Producteurs de Pétrole, dans trois siècles, c’est-à-dire en 2040, les véhicules marchant à l’essence et au gasoil ne feraient plus qu’1% de vente dans le monde.

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Marc
Marc
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