Le Ministère des Transport allemand souhaite alors que l’Union Européenne durcisse la réglementation qui encadre les émissions de CO2. C’est dans le but de faire éloigner les constructeurs à utiliser des systèmes pour déjouer les tests. Il est à savoir que les émissions de CO2 en Europe sont dues généralement aux automobiles qui remontent à 52 %.
Délimitation de l’émission de CO2 jusqu’à 95 grammes en 2021
La commission européenne a déjà fixé un objectif depuis deux ans. La moyenne des émissions de CO2 de voitures neuves ne devra pas passer de 95 grammes par kilomètre. Pourtant en 2025, l’Europe fléchit avec des objectifs encore plus ambitieux.
Les constructeurs vont devoir faire face à une transformation de cycle d’homologation avec des tests en conditions réelles. Cela pourraient faire grimper les valeurs de CO2, mais aussi rabaisser au minimum les limites de CO2 en grammes / kilomètre qu’il ne faut pas dépasser.
Vu que cette limite est déjà fixée à 95 grammes, donc les nouvelles voitures vendues par à cette date ne devront pas atteindre ces 95 grammes. Le parlement européen a proposé un objectif de 68 à 78 grammes de CO2/km pour les voitures et de 105 à 120 gramme CO2/km pour les camionnettes à partir de l’année 2025.
Une solution qui reste un problème de taille pour les constructeurs
Pour cela, c’est vraiment très dur pour les constructeurs. Rabaisser jusqu’à 95 grammes de 2021 est tellement compliqué plus que l’on imagine, donc cela signifie de perdre 17 grammes en quatre ans. Mais puisque Bruxelles suit cet avis, ça représente le meilleur des cas. Par quel moyen cela peut être réalisé ? La conversion d’une majeure partie du parc automobile actuel à l’électrique demande des efforts financiers.
Cela consiste à faire des installations des bornes rapides partout, la production d’énergie, et de faire un achat. Face à ce problème, l’Etat s’interroge déjà sur la problématique du bonus écologique des électriques en France. La progression des voitures électriques en France va poser rapidement un problème.