Lorsque l’on évoque l’automobile, nous sommes tous concernés par tous les domaines se rapportant à notre véhicule. Parmi ces aspects, force est de constater, que l’assurance tient une part importante, mais à part. Non seulement, l’assurance est essentielle pour pouvoir nous rassurer en cas de sinistre, mais elle nous prémunit également contre toutes mauvaises surprises, dont nous pourrions être les victimes (Catastrophes naturelles, Vols, Vandalisme,…). Nous prenons donc une attention particulière à étudier l’ensemble de dispositions de notre assurance voiture. Mais, ces dispositions particulières n’occultent pas, que ce contrat nous liant à notre assureur connaitra, au fil du temps, une évolution inhérente à notre conduite.
En effet, si le facteur prix peut être l’un des éléments de notre choix de notre future assurance, on ne doit pas oublier, que ce prix pourra être minoré, ou majoré, dans les années à venir, par notre coefficient de bonus ou de malus. Même si les règles ne sont pas absolument identiques d’une compagnie à l’autre, on peut estimer, que notre indice évoluera négativement, dès lors que nous sommes responsables d’un accident, voire même d’un incident. Le taux de malus appliqué sera alors proportionnel à notre responsabilité, mais aussi à la gravité de la faute commise.
Le malus peut donc être considéré comme une « sur facturation », devant nous permettre d’assumer, en partie, les responsabilités de nos erreurs. Le pendant de ce malus est, bien évidemment, le bonus, qui récompensera notre attention et notre vigilance au volant. Une fois acquis, le malus ne disparait automatiquement et rapidement, mais il perdra de son importance en fonction du temps passé, sans avoir commis d’autres dégâts. C’est pourquoi, il est essentiel également de bien s’intéresser à ces définitions de Malus et de Bonus, dès lors que vous signez un nouveau contrat pour votre assurance automobile.